dimanche 29 décembre 2013

Green River : Elliott Murphy on "See Me, Hear Me" !!!



Librement adapté de la chanson Green River de Elliott Murphy (Strings of The Storm/2003).
Collection « See Me, Hear Me » (Nouvelle Originale + CD). 
Pour plus d’informations : http://kollectivmode.com/

À compulser d'envie dans la foulée…
Kollectiv'Mode


lundi 16 décembre 2013

Kollectiv'Mode Éditions !


« Parce que le Kollectiv’ sonne toujours deux fois ! »

Bonjour à toutes/tous :
Et dire que certains hésitent encore au moment d’effectuer leurs achats de Noël…

Oubliez les portables sertis de diamants, les fumeuses cigarettes électroniques, les Jeux Vidéo videurs de neurones et autres gadgets estampillés Nouvelles Technologies – de portée limitée, parce que tout bientôt obsolètes – pour investir dans du « vrai », du « vécu », du qui « dure ».
Depuis l’aube de notre humanité perturbée (ou pas loin) nous jouons, pensons, créons, (nous) construisons à base de voyelles et consonnes plus ou moins subtilement agencées ; vivons expressément à l’aide de mots, phrases, concepts, idées et (Nes)pensées… « What Else ? ».

Fuyez la masse sans regrets. Quittez le troupeau numérique castrateur d’identité, d’originalité. Évitez les lieux de rencontre courus et hypermarchés suburbains bondés de convenu. Émancipez-vous. Soyez un Born-Again humain sachant penser différemment et viser plus haut, plus loin. Oubliez la Mode et son odieux diktat.
Rejoignez au plus vite le Kollectiv’ !!!

Plus d'infos, détails et extraits, sur le : www.kollectivmode.com
Commandes (toutes) questions et interrogations : kollectivmode@gmail.com
Catalogue complet et titres TOUJOURS disponibles, au : http://kollectivmode.com/category/edition/




mardi 5 novembre 2013


« Oyez, oyez, braves gens affairés et Internautes pressés ! » :
Kollectiv’Mode Éditions se fend aujourd’hui d’un court communiqué, ceci afin d’annoncer la sortie du tout premier opus issu de la Collection « See Me, Hear Me ! ».
Une collection comprenant, une nouvelle adaptée ou écrite en  « miroir » à une chanson, puis augmentée d’une « version » inédite – par l’auteur ! – de la chanson en question ; une
« version » collant résolument aux basques de ses écrits, et non de la chanson originale.

Première Nouvelle de la série : « Un Fils À La Patte ! (Il Était Une Fois…) » : librement adaptée de la chanson Redemption’s son de Joseph Arthur (songwriter Américain ô combien talentueux et source d’inspiration, à nulle autre pareille…) que nous remercions, céans, pour l’ensemble de son œuvre musicale et picturale : atypique, puissante et riche…

Une sortie originale, une association « littérature + musique » risquée, à déguster sans retenue aucune…

samedi 2 novembre 2013

L'extraordinaire exposition/vente des œuvres du "Musicien/Peintre" US Joseph Arthur – organisée et montée par le trio des Kollectiv'Mode (www.kollectivmode.com), est prolongée jusqu'au vendredi 8/11 ! À ne pas manquer…




lundi 30 septembre 2013


Événement à ne pas manquer !
Pour tout renseignement ou contact : kollectivmode@gmail.com

mercredi 24 avril 2013

Marty May / Elliott Murphy


Marty May / Elliott Murphy (Editions Joêlle Losfeld)

Préquelle :
New York, 1979.
À l’arrêt, lâché par les Majors et la quasi totalité de l’empathique microcosme musical, Elliott Murphy décide alors, suivant les préceptes de son modèle de toujours F. Scott Fitzgerald, de brutaliser sans retenue sa précieuse Smith Corona. Une thérapie par l’écrit qui ne pouvait qu’éclairer une période durant laquelle l’Elliott vivait à fond (tout au fond ?) la fin du (son ?) fameux « Rêve Américain » 


Des écrits basés autour d’un énigmatique guitariste de Blues,  nommé Marty May : largué comme-lui en une époque de changements subits et réorientation profonde du susdit secteur musical. Une « nouvelle » finira d’ailleurs par sortir au cours des mois suivants, au sein du prestigieux magazine US Rolling Stone, puis une version incomplète de ces écrits, en 1989, sous le titre de Cold & Electric (aux Éditions L’Entreligne). Il y a moins d’une année, Elliott finira par retrouver le manuscrit original, qui sortira dans sa version complète en février dernier, grâce à l’aide (et la très belle traduction) de son ami et auteur : Christophe Mercier.

Séquelles :
Avant toute chose, ne vous fiez SURTOUT pas au résumé fiché en dernière de couverture et nanti de cette triste et réductrice phrase : « Aurait-il dû continuer à jouer du blues aux côtés de Blind Red Rose, son premier mentor, resté pauvre et légendaire ? », ce serait gâcher. Ce très beau Marty May vaut plus, beaucoup plus, et ce, par bien des côtés. In fine, le contenu de ce roman très abouti correspond exactement à ce que nombre d'éditeurs Français considèrent comme LEUR cauchemar récurrent : un livre sur la musique écrit par un lettré, truffé de références NON musicales, de personnages complexes et situations nouées à l'avenant, et surtout, surtout, très bien ÉCRIT... Surtout. Essentiellement. Ce que d'aucuns de ces employés du livre considèrent souvent, comme – je le sais, je l'ai subi il y a peu encore, à l’instar de très nombreuses autres plumes en demande de notoriété et publication – : « trop bien écrit : trop littéraire pour un fan de musique, et trop musical pour un fan de littérature ! ». Un avis en « boîte » apposé sans vergogne par une série de fronts serrés de l’édition environnement, qui n'ont pas toujours cours outre-manche, ou... Atlantique ! Pays d'origine de l'auteur de cette ballade aigre-douce (amère ?) menée à bride abattue au sein du monde déshumanisé et froid de l'analyse, de la musique (ou de l'a-musique ? Nantie du « a » privatif qui lui siérait si bien).

Une suite de personnages cocasses ou repoussants – des producteurs mégalos et artistes brisés de l’avancée – de situations glauques – droit de cuissages mornes, avancées du temps mal assumées ou overdoses minables – de rebondissements et revirements à ne surtout pas dévoiler ici, mais revenant sur la main mise peu à peu opérée – en sous main, tout d’abord, puis au « grand air » – par les diplômés des écoles de commerce, hommes d'affaires aux dents acérées et étrons boursiers, sur le microcosme (sur)codifié et désormais embrumé de la musique ; sans oublier les nombreux changements vécus par icelui : le flicage, les « barrages » incessants, les services d’ordre ras du bulbe, le cirque des « stades » et leur cérémonial très « bling bling », trop bien huilé et quasi aseptisé de l’improvisation, ou de l’attention…

Comme vécu précédemment, au sein de l'œuvre de notre « musicien auteur » (ici, c'est juste l'inverse, et c'est largement réussi, au diapason de ses dernières productions discographiques abouties, nommées : Elliott Murphy / 2011, ou It Takes A Worried Man / 2013) Scott Fitzgerald croise négligemment Chuck Berry, qui y fricote avec Andy Warhol en Pop Art majeur, avant que celui-ci ne dîne à la fraîche avec Shakespeare ou ne traverse New York en vélo pour s’en aller tout droit mirer Marty May duettiser du riff aux cotés de Jimi Hendrix ; ou bien encore, croiser le fer de la grondante révolte sociale en (bonne) compagnie de Marlon Brando : tous deux posés sur une nappe à carreaux légendaire, en bordure de quais, bien évidemment (j’exagère à peine !).


Tandis que le gars Marty (May) s’escrime à revivre les (trop courts) fastes d’un passé désormais recouvert d’une épaisse couche de poussière, de colère froide et d’oubli, le monde avance, lui. Au bout du compte, ça n’est jamais que la mort « officielle » du passé, assassiné froidement par un présent de plus en plus exigeant : totalitaire de la volonté, sans merci ni partage aucun, remise de peine envisagée, ni même… souhaitée ! (Vorace de la mode à tout crin et de l'avancée technologique, comme rarement par le passé, voire... jamais ?).

Tel un nourrisson de Neuilly balloté sans ménagement en une suite de manif’ dominicales rétrogrades et obsolètes de la pensée, Marty May y croise les fantômes de son passé « Blues » séminal : sous les traits du truculent Blind Red Rose, qui emprunte autant à Muddy Waters, qu’à John Lee Hooker, soit, mais qui pourrait aisément revêtir les hardes humides de sexe et Bourbon, des adulés Howlin’ Wolf, Elmore James, Bo Diddley, ou… BB King ! (Hommage déjà rendu au genre en question en l’année 2005, sous la forme d’un bel album, nommé : Murphy Gets Muddy).

Tout occupé à résoudre sa dangereuse équation perso : « (in)succès chronique + intégrité X savoir faire au carré = compromission ou petite mort ! », il revient de facto sur la mort du « Burlesque » et celle du fameux Ziegfield's Follies – le must New Yorkais en la matière ! – s’en extirpe finalement aux bras d’un sacré numéro (doté d’un grand écart de légende !) cite WC Fields et déterre les fantômes du fameux « Lundi Noir » (LA crise de '29 !) ceci afin que d'introduire sans prévenir l’apparition DU grand classique du roman US : la strip-teaseuse « nature » au cœur grand format (et paire de seins de même acabit) qui se donne sans chercher, recouds et panse, sans compter. 















« Apparences, Apparences, est-ce que j'ai une gueule d'Apparences ? », aurait très certainement lancé de gouaille, notre Arletty nationale (en parcourant ces quelques lignes consternantes, sorties tout droit de la bouche à cigare d’un des pontes du milieu musical) : « Il faut toujours voyager en première classe, car si l'avion s'écrasait, ça serait la honte de se trouver sur la liste des passagers de la classe économique ». Une phrase édifiante, qui sent très certainement le vécu, ainsi pointée d’aise sous la plume gainée d’acide, du gars Elliott !). Une manifeste incompréhension, née d’un affrontement entre deux visions très distinctes, qui prend tout son sens, appuyée sur le cru et lapidaire :
« Si des comptables et des avocats s'imaginent que je ne suis pas capable de comprendre mieux qu'eux, les gamins qui achètent tous ces disques, alors, c'est que je suis vraiment fini » (Marty).

Lorsque celui-ci évoque le système « dangereux » et sans filet, des fameuses « avances », ça ne peut que sentir également le vécu à « donf » : « Vivre sur l'argent à venir produit un effet étrange : on le dépense plus vite. On dépense aujourd'hui l'argent de demain en échange des promesses d'hier... ».  

Outre cette image insensée d'une vielle légende du Blues aveugle (au bout du rouleau) assis de longue devant la télé, on y croise également Dylan Thomas, le pathétique musicien « grimé sous paillettes pour ados » Paul Saint, ou l’assassin de Lincoln (John Wilkes) ; depuis les fenêtres du mythique Chelsea Hôtel, on peut y suivre le chemin tout tracé de deux maousses lignes de coke, avant que d’y frimer (standing, oblige) au sein des incontournables limousines de légende – débordantes de démesure et abus de toutes sortes, parce que uniquement destinées à entretenir le standing présupposé du secteur. Présents également, ici, les groupies aux bouches voraces et musiciens en herbe déjà blasées, avant même que de commencer ; sans oublier la fragile constitution des téléviseurs de palaces Californiens supportant bien mal l’apesanteur terrestre et le taux d’alcoolémie hors normes des stars en goguette. Les incontournables du fameux et très surfait « cirque » Rock, encore et toujours en représentation, en quête de gros titres, adulation et reconnaissance !

Tout en suivant pas à pas les remugles nauséabonds émanant des groupes de « genre » (la New Wave et les piteux Nouveaux Romantiques sont alors juchés sur le toit des classements et hits parades) « jetables », modelés du look ou « montés de toutes pièces », on y suit avec envie le cours, parfois morne, parfois bouillonnant, d’une trajectoire humaine non rectiligne, nommée Marty (May) visiblement branchée sur courant alternatif, voire… extinction des feux ! Céans, en ce New York alors en pleine mutation des lointaines 80’. Les fins de cycles heureux se vautrent ici sans retenue dans l’amertume et l’incompréhension, option misère à tous les étages, indexés sur des souvenirs qui puent la pisse et les jeans usés (ou bien les souvenirs usés des jeans qui puent la pisse ?) le tout claffi d'avocats véreux, de paroles « élastiques » et contrats à « tiroirs » bâtis avant tout sur concassage d'artiste bien mal informé des us et coutumes sauvages du « milieu » en question : la vie duraille de genre masculin... Musical ! En somme...
Des « requins » de haute mer présents tout du long de cette douce balade avec vue sur l'amer habitée de trafiquants d'âmes ou/et de souvenirs ; avec, en point d'orgue, un bal de la Promo 67' (celle dont serait plus ou moins issu notre as de la six cordes, nommé Marty !) qui collerait instantanément à tout participant censé l’envie de se lancer dans une Roulette Russe à CINQ balles le barillet, juste pour être tout à fait certain de ne surtout pas en réchapper... Juste ! À croire que nous passons une grande partie de notre courte vie terrestre à tenter d'évoluer plus ou moins librement au travers de cet étroit et sans merci (noir et froid) interstice mal fichu séparant le beau du pathétique : avec ou sans succès, nanti ou dénué de classe, mais toujours sur la brèche, néanmoins !
« J'ai ri tout haut. Mais quand on rit, ça fait mal, non ? Sortir les vieux articles en période de crise procure un fix rapide, mais lorsque l'euphorie initiale se transforme si facilement en une nouvelle tentative désespérée de comprendre sa propre déchéance, la retombée est longue et périlleuse... ». 



















Zigzaguant de longue entre les extraits de textes mythiques (Just Like Tom Thumb’s Blues / Bob Dylan, ou Wild Horses / The Rolling Stones) l’auteur s’autorise à cligner de l’œil en direction de ses plus fidèles lecteurs ; comme cette claire allusion (Page 177) destinée à l'un de ses précédents écrits : Poetic Justice (Hachette Littératures) ; un roman de genre revenant sur la dureté du rêve US : le bon vieux temps du Far West, des hors la loi, des faux prédicateurs et des flingues (à se demander si « ça » a réellement changé en les rues pavées de rêves et espoirs oubliés de l’Oncle Sam, à vrai dire ?).
Profitant d’une analogie d'avec la façon de composer DU Beach Boy(s), Brian Wilson (pieds nus fichés dans un bac à sable au beau milieu de son salon !) Elliott en profite également pour prêter à Marty May l’intention d’en faire de même, mais, dressé sur une planche de surf, lui ; une allusion non détournée à la mythique pochette de son fameux : Murph The Surf  (1982).

« Dans les années 60, Abbie Hoffman et Jerry Rubin jetaient des billets de banque sur le sol de la bourse de New York pour voir ce qui allait se passer. C'est exactement la raison pour laquelle nous nous sommes mariés : pour voir ce qui allait se passer ». Un extrait saisissant de fiel qui ne peut que conduire logiquement à l'étape suivante : celle du rôle de la femme de LA Rock Star ! Prise littéralement en otage et coincée de longue entre les us et coutumes du genre et l’ego surdimensionné de l’« autre ». Un rôle et un statut bien peu reluisants. Une suite de voyages sans fin « offrant » à icelle une vie pétrie d'ennui, des nuits qui n’en finissent jamais, des moments gâchés d’addictions et de fréquentes attentes domestiques saupoudrées de questions légitimes liées à la virulence de la forte « concurrence » nichée sous le masque élastique de gamines de 17 ans en chaleur ou en proie à d'intempestives poussées d'hormones noyées de phéromones de concours : « Tu es fait pour ça. Tu es une Rock Star. Tu es censé être arrogant, égocentrique, impossible à vivre. C'est bien ce que veulent les jeunes, non ? » (dixit Barbara : ex femme de Marty May apparemment ravie de son tout nouveau « statut » conjugal distancié). Une séparation mal vécue, inscrite tout du long, en filigranes, de cette quête du rachat et de la reconnaissance à tout crin composant ce surprenant Marty May ; sans pour autant verser jamais dans l’attendrissement à « donf », la complaisance, ou l’apitoiement : « On ne peut dissoudre la naissance, ni la mort, ni le diplôme du lycée, mais le divorce est le dernier endroit où s'exerce une magie légale. Au moyen-âge, si on était assez riche, on pouvait acheter une place au paradis. Avec le divorce, on s'offre un chemin rapide hors de l'enfer ». Édifiant, et à la fois typique d’un esprit New-Yorkais souvent personnifié par les saillies de concours (écrites ou filmées) en provenance du truculent AllenWoody !

Autres « morceaux choisis » à déguster sans retenue :
 « Eh bien, après tout, à nous, les héros tragiques, il nous faut notre dose quotidienne d'exhibitionnisme émotionnel. Montre-moi un héros et je te montrerais une tragédie ».

« Je suis un Américain. A quoi tu t'attendais ? Si je ne produis rien, je me sens coupable ».

« C’est incroyable de voir que dans ce pays on dépense des fortunes pour faire venir une momie d’Égypte, et qu’on traite comme de la merde les vrais trésors Américains comme Blind Red Rose… ».

« J’avais envisagé ce qui arrive à des mégastars comme Paul Saint, mais je n’avais jamais vraiment réfléchi à ce qui se passe pour des gens comme Blind Red Rose. Il avait traversé la vie comme un noir aveugle qui chante le Blues, et je suppose que j’imaginais qu’à la fin de cet arc-en-ciel il y avait un chaudron rempli de pièces d’or. Des types comme Paul Saint finissent par faire une overdose dans une chambre d’hôtel, des types comme Red Rose ont de la chance s’ils ont une chambre… ».













Une existence « Rock » qui peut donc aisément se résumer à l’aide du très dur, froid et lucide : « Pas d’espoirs, pas de déceptions… », mais qui se dévore néanmoins sans retenue et à vitesse grand « V », tellement il ne peut que happer et combler le lecteur féru des écrits de John Irving, de Nick Hornby, ou de l’incomparable et rarement égalé Philippe K. Dick… Rien moins !

« Toute perte au sein d’une espèce en voie de disparition nous rappelle notre propre finitude… ». Une froide et pertinente constatation qui ne peut que nous toucher/émouvoir, en une (sale) époque où les espèces animales ou végétales, et autres dialectes locaux ancestraux ou tribus isolées, perdent du crédit et des effectifs chaque jour que Bill Gates fait ; qui ne peut que nous pousser à ne surtout pas passer à côté de cet étonnant et jouissif Marty May : oscillant sans cesse, entre, nostalgie amoureuse, froide désillusion, humanité en souffrance et futur proche parfois si éloigné, hors de portée de tout, toutes, et… Tous ! 

J2C

« Photos By Lof » (à l'occasion de la signature / Showcase organisée par Kollectiv' Mode au magasin Massilia Records, Marseille, le 12 Avril 2013).





mercredi 28 novembre 2012

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Contes Modernes / Nouvelles
(Kollectiv’Mode Ed.)



Après avoir tâté de la vache Marseillaise au coin d’une épique Cow Parade (2006), puis exposé fièrement SA vision du monde (et de son devenir) au sein (mais en marge) d’une suite de Cool Globes (2010) plus ou moins engagés du propos et de l’esthétique…
Après avoir moult fois exposé leurs dessins, peintures et installations polémiques du sujet, au coin des Portes Ouvertes Consolat (2009/2012) ou de divers lieux et galeries prévus à ce pictural effet, le trio des Kollectiv’Mode s’en revient aux « affaires » culturelles !
Une suite de six « Contes Modernes » écrits par Jacques 2 Chabannes et « habillés » par Lof – édités sur papier de qualité, en Série Limitée à 100 exemplaires numérotés à la main ! – qui s’affranchissent résolument des « canons » du genre et s’immergent sans retenue en les noirs tréfonds de notre humanité de proximité à nous (bien peu versée dans le partage, la prise en compte de l’« autre », et l’empathie…).

Attention !
Ceci est une mise en garde essentiellement adressée aux esprits cartésiens, aux pragmatiques zélés, aux défenseurs invétérés du « politiquement correct ».
Dans tout Conte Moderne, qui se respecte – à défaut de respecter la véracité des faits, l’authenticité des personnages, la datation au Carbone 14, ou la typicité du milieu naturel environnant… – sommeille un marchand ambulant toujours prêt à vous fourguer SA vision de la chose…